Les manuels d’Histoire français ignorent même jusqu’à son nom. Dans les archives militaires françaises, on ne trouve même pas la photo de celui qui s’est engagé en 1914, à l’âge de 32 ans et qui, de Caporal, deviendra en trois ans général dans l’Armée française.
Aucun général, français de surcroît, n’a autant de statues à son effigie dans son pays natal, la Slovaquie, à l’époque, province hongroise où l’usage de la langue slovaque était interdit. A 20 ans, ce polyglotte bardé de diplômes, après un passage à l’Université de Zürich, arrivait en France pour en faire sa patrie et la servir avec une fidélité exemplaire jusqu’à sa mort tragique.
Son nom n’a encore jamais été donné en France à une promotion. Sa carrière pourtant au service de sa patrie d’adoption et de l’Europe fut tellement exemplaire qu’on ne peut pas ne pas s’interroger sur une telle cécité. Il y a bien une place à Paris dans le 16ème, Porte de Saint-Cloud, qui donne sur le boulevard des Maréchaux.
En Slovaquie, sa statue est en bonne place dans chaque ville ou village du pays depuis le « divorce de velours ». Pour les Slovaques, le Général Milan Rastislav Štefánik n’est pas seulement l’un des trois co-fondateurs de la Tchéco-Slovaquie, issue des Traités de Versailles et du Trianon avec Tomáš Garrigue Masaryk et Edvard Beneš, il est le père de la nation slovaque. Ils ont œuvré ensemble à Paris pour préparer le dépeçage de l’Autriche-Hongrie et la création d’un État tchéco-slovaque. On disait à l’époque ; « « Masaryk pense, Beneš le dit et Štefánik le fait ».
Fils de pasteur élevé dans la ferveur des idéaux patriotiques et slavophiles
Milan Rastislav Štefánik voit le jour le 21 juillet 1880 à Košariská dans l’ancien royaume d’Autriche-Hongrie. Son père, Pavol Štefánik, pasteur, élève ses enfants dans la ferveur des idéaux patriotiques et slavophiles, à une époque où le sentiment national était profondément ancré dans le cœur des Slovaques, lesquels à l’époque, ne devaient s’exprimer qu’en hongrois…
Il entame de brillantes études au lycée évangélique de Presbourg, à Sopron et à Sarvas, avant de s’inscrire à l’Université Charles de Prague. Puis, il choisit d’étudier à Prague.
Il a18 ans quand, après des études d’études d’ingénieur du bâtiment, il s’oriente vers l’astronomie et les mathématiques. Doué d’une intelligence extraordinaire, d’une personnalité forte, il s’engage avec ferveur en politique en militant contre la « magyarisation » de la Slovaquie. Il est convaincu que la solution passe par une étroite coopération « slovaco-tchèque » pour que ces deux nations puissent accéder enfin à l’indépendance. Štefánik est sous l’influence d’un intellectuel éminent, Tomáš Masaryk, un universitaire qui définit les peuples tchèque et slovaque comme « deux particules d’une même nation ».
Doctorat en poche, Milan Štefánik s’installe en 1904 à Paris après un bref passage à Zürich pour y poursuivre, pendant dix ans, des études d’astronomie en devenant l’assistant du professeur Jules Janssen à l’observatoire de Meudon.
A Meudon, il publiera douze traités scientifiques et réalisera des expéditions d’observation astronomique après avoir multiplié les voyages au bout du monde. A Tahiti, en 1910, notamment, où il observera le passage de la comète de Halley.
Štefánik entreprend également des missions diplomatiques pour la France après avoir proposé de mettre en place une chaîne de stations radiotélégraphiques qui relierait toutes les colonies françaises entre elles. Štefánik s’avère être « l’homme idoine ». Le succès de cette réalisation lui vaudra la Légion d’honneur et la reconnaissance officielle.
Malgré quelques problèmes de santé, en 1914, Štefánik s’engage à 32 ans. Il est incorporé comme caporal et entreprend une formation de pilote à l’école d’aviation militaire de Chartres, avant de rejoindre l’escadre aérienne MF-54 dans le Pas-de-Calais. Très vite, il va se faire remarquer. Il invente les premiers bombardements aériens puis créée le service météo des Armées. Blessé en 1915, il poursuit le combat.
Il forme une escadrille formée de volontaires slovaques et tchèques, qui est affectée en Serbie. Gravement malade, on le transfère d’urgence à Rome.
C’est là qu’il va retrouver son ami le général Jean César Graziani avec lequel il avait formé cette Légion de volontaires tchéco-slovaques. Štefánik oriente sa vie désormais vers l’action politique et diplomatique. Son objectif est à la fin du conflit d’accompagner le dépeçage de l’empire d’Autriche-Hongrie pour donner naissance à un État regroupant Tchèques et Slovaques pour le meilleur et pour le pire. Son objectif n’a pas varié, sa ténacité ne le quitte pas.
Dès que son état de santé le lui permet, il repart pour Paris, où il retrouve Jan Masaryk et Edvard Beneš. Le dicton qui dit : « Masaryk pense, Beneš le dit et Štefánik le fait » redevient d’actualité. Une nouvelle étape de sa vie commence. Il consacre dorénavant son activité à la création d’un État libre et indépendant pour les Tchèques et les Slovaques.
Après guerre, il est nommé à Prague ministre de la guerre. Il continuera jusqu’à sa mort aux commandes de son avion à porter son uniforme de général français avant d’être abattu par une unité de la DCA slovaque qui avait été curieusement informée de l’arrivée imminente dans le secteur d’un avion hongrois ennemi. C’est ainsi que le 4 mai 1919 Milan Ratislav Štefánik sera mortellement touché et qu’il s’écrasera avec son avion à Ivanka pri Dunajice, près de Bratislava.
Mort en service commandé, celui qui était resté fidèle à la France par attachement à sa patrie, la Slovaquie, deviendra le héros national slovaque et sera inhumé sur les hauteurs de Brezová pod Bradlom, suivi par une foule immense qui traversera les champs là jusqu’à sa dernière demeure où sera construit un mausolée qui domine la vallée.
« La destinée d’un peuple se compose de ceux qui visent à la gloire et de ceux qui visent à la fortune ». Cette formule de Louis-Antoine de Saint-Just est toujours fondée : l’homme d’une seule fidélité, Milan Štefánik, n’a pas trouvé la fortune, mais il a contribué au bonheur d’un peuple qui a enfin pu se libérer de ses chaînes pour prendre en main son destin et restera un grand symbole de la fidélité à la France.
Qu’il me soit permis ici de rendre un hommage au Colonel Joël Bros qui m’a fait connaître la Slovaquie et découvrir ce grand homme sur lequel je n’avais jamais rien lu en France. Dans nos archives militaires, à Paris, il n’y avait pas la moindre photo de lui lorsque Jacques Chirac a tenu à honorer sa mémoire lors de la visite de Vladimir Meciar à Paris. Un homme tant décrié à qui l’on doit été l’un des artisans de la « révolution de velours » après avoir rendu ce héros à son peuple dont le souvenir a été confisqué pendant toute la période de la dictature communiste et à qui l’on doit d’avoir voulu renouer des liens forts avec la France.
Comment enfin ne pas parler d’un autre lien entre la Slovaquie et la France sans évoquer la Brigade Štefánik et l’histoire du bataillon Foch qui après la Libération de Paris dans la trouée de Stercsno attaquera à mains nues la 1ère Division de la Waffen SS.
Ce sera l’objet de notre prochain papier afin de tourner deux pages magnifiques d’un grand livre écrit avec le sang et les larmes d’un peuple.
Joël-François Dumont
D’abord diffusé en France le 4 mai 1998 sur France TV et TV5, ce reportage à la mémoire de cet homme qui fut le trait d’union entre la France et la Tchéco-Slovaquie a été rediffusé en Slovaquie au cours d’un grand débat télévisé le 26 août 1998 à Bratislava, mettant face à face le Premier ministre slovaque, Monsieur Vladimir Meciar, à deux journalistes français.
Joël-François Dumont : Boulevard des Maréchaux à Paris, la garde républicaine rend les honneurs militaires à l’un des héros de la Première Guerre mondiale, le Général Milan Rastislav Štefánik.
Naturalisé français à 20 ans le jeune Štefánik, docteur es-sciences, publiera en dix ans douze traités scientifiques. En 1914, il a 32 ans quand la guerre éclate, il s’engage comme soldat. En juin 1918 il sera Général: un cas unique dans les annales militaires. De Washington à Moscou, il sera « l’homme des missions impossibles »: c’est lui qui inspirera le Traité du Trianon et le Traité de Versailles.
1914: Štefánik décoré de la Croix de Chevalier de la Légion d’honneur
Štefánik avait une vision de l’Europe. Il croyait que les Slaves et les Latins devaient se retrouver sous l’égide de la France pour construire une nouvelle Europe.
Hommage solennel rendu par Vladimir Meciar en visite officielle à Paris
Joël-François Dumont : La France et la Slovaquie aujourd’hui indépendante lui rendent ici un hommage solennel.
Albert Turot, Ambassadeur de France en Slovaquie (1998)
M. Albert Turot, Ambassadeur de France en Slovaquie : A la fin de la guerre, il a participé à la construction de la « Tchéco-Slovaquie », et à ce moment il a revêtu l’habit du diplomate. Il est l’un des fondateurs de la Tchécoslovaquie avec le concours et l’appui du gouvernement français.
Colonel Frantisek Butco, stagiaire à l’Ecole de Guerre à Paris
Colonel Frantisek Butco : Son idée principale : l’égalité entre les deux nations dans un même propre État.
Général d’Armée aérienne François Mermet (2S)
Général d’Armée aérienne (CR) François Mermet : Il a terminé cette guerre comme général de brigade aérienne après avoir commencé comme caporal. Il a recruté une escadrille de volontaires slovaques et tchèques pour venir se battre à nos côtés.
La Légion tchéco-slovaque défile devant les généraux Stefanik et Grazziani (Italie)
C’était un savant, c’était un diplomate, c’était un militaire, c’était un homme politique d’envergure, c’était un européen avant l’heure !
Joël-François Dumont : En Slovaquie, le Général Štefánik est considéré comme le père de la Nation.
Lieutenant-Colonel Bros, Attaché de Défense à Bratislava : Il s’était fait naturaliser français. Il avait participé à la Première Guerre Mondiale en tant que pilote observateur dans la première aéronautique française. Ce personnage est toujours représenté en Slovaquie en uniforme français. Le Général Štefánik a été de ceux qui ont créé la météo aérienne.
En 1916, Štefánik crée avec Mazarik et Beneš à Paris le Conseil National tchéco-slovaque. En quelques mois, parcourant l’Europe et les Etats-Unis, il réunira quelques milliers de volontaires pour servir sous l’uniforme français de la « légion tchéco-slovaque ».
Joël-François Dumont : Le 21 avril 1918, il signera un traité avec l’Italie officialisant l’armée tchéco-slovaque qui restera dirigée par des généraux français.
Abattu aux commandes de son avion le 4 mai 1919, vraisemblablement sur les ordres d’Edvard Beneš, la Tchéco-Slovaquie perdra alors son trait d’union…
Prof. Ing. DrSc. Jan Fuska, Président de la Fondation Stefanik
Prof. Ing. DrSc. Jan Fuska : Stefanik a tout fait pour que la Slovaquie soit un jour libérée. C’est pour cela qu’il est parti en France, qu’il a pris la nationalité française, et qu’il a combattu dans les rangs de l’armée française.
Le Général Stefanik accueille le Général italien Grazziani
Il a réussi à convaincre à la fois les diplomates et les hommes politiques français qu’il fallait aider la Slovaquie. Pour cela, il fallait diviser l’empire austro-hongrois en créant des petits États d’Europe centrale.
Le képi du Général Stefanik dans sa maison natale de Kosariska transformée en musée
L’idée de Stefanik était de fonder une nouvelle Europe, une Europe libre sous l’impulsion et sous l’influence des idées de la France.
Joël-François Dumont : En Slovaquie, le portrait de Štefánik a fait sa réapparition dès la disparition du Communisme. Le Général Štefánik repose aujourd’hui dans un mausolée sur la montagne de Bradlo qui surplombe sa ville natale de Košariská.
Milan Rastislav Štefánik (21 juillet 1880 – 4 mai 1919)
(NDLR 1) Après avoir organisé le recrutement de volontaires tchéco-slovaques, Štefánik signe le 21 avril 1918 en Italie avec le Premier ministre Orlando le traité de formation d’une armée tchéco-slovaque sur le front Italien: la France le fait commandeur de la Légion d’Honneur.
(NDLR 2) La plus grosse coupure slovaque, le billet de 5 000 Sk (couronnes slovaques) est à l’effigie du Général Milan Rastislav Štefánik. C’est désormais le seul billet de banque au monde qui représente un général français en uniforme.
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Au verso du billet, on aperçoit notamment le mausolée sur la colline de Bradlo où repose Štefánik. On distingue une partie de la constellation de la Grande Ourse en hommage à ses travaux de savant astronome à l’Observatoire de Meudon ({pour plus de détails cliquez ici}).
Billets de 50 Ks émis en 1945 et 1948
« Le crime était signé et le commanditaire identifié »
(NDLR 3) A propos de la mort du Général Štefánik : Radio Prague a diffusé un long papier en français qui se voulait une biographie de Štefánik. Celle-ci aurait certainement beaucoup gagné à être plus complète, à la fois sur les objectifs politiques recherchés par ce stratège militaire d’envergure européenne que fut Milan Rastislav Štefánik, et sur les causes restées « mystérieuses » de la mort du général. Le commanditaire de cet assassinat n’a pas mis longtemps à être identifié, ce qui n’a pas manqué d’altérer durablement la relation franco-tchéco-slovaque.
Les « nationalistes slovaques » ont bon dos dans une affaire qui continue, 80 ans après, de faire peser un redoutable soupçon sur le président Edvard Beneš. Un soupçon qui, hélas, ne repose pas que sur des rumeurs colportées par quelques militants fiévreux d’une indépendance que Štefánik n’avait jamais envisagée. Bien au contraire, Štefánik croyait et militait sincèrement pour une véritable communion entre deux peuples, à la fois si proches et pourtant si différents. Pour l’opinion slovaque, ce genre de textes ne changera donc rien avec une telle argumentation qui n’apporte rien de nouveau…
Pour en savoir plus, l’auteur de ce reportage, Joël-François Dumont, grand Reporter à France 3, s’est attaché à rencontrer des historiens militaires slovaques, de tendance politique parfois opposées, et a eu accès à toutes les archives militaires disponibles, et pas seulement en Slovaquie. Il s’est même rendu dans le musée militaire avant son inauguration officielle, où l’on achevait de reconstruire l’avion de Štefánik à l’identique. Il y avait là les débris conservés de l’appareil. L’avion, un Caproni aux couleurs italiennes, semblables à celles de la Hongrie, a bien été abattu par la DCA slovaque. C’est un fait. Mais faut-il se contenter de parler d’erreur tragique et refuser d’accorder un crédit à de nombreux témoignages concordants et recoupés de l’époque, tant slovaques que français, de personnalités qui ne cherchaient aucunement à séparer les deux peuples ?
L’auteur s’est également entretenu avec le fils d’un ancien membre de cette batterie de DCA slovaque, celle là même qui a abattu le Caproni. Selon lui, « l’ordre transmis informait à l’avance de l’heure et du lieu d’arrivée de cet avion sans escorte d’une manière tout à fait inhabituelle. Ceux qui ont tiré ne savaient évidemment pas qu’ils étaient en train de viser l’avion de Štefánik, ils pensaient abattre un avion ennemi hongrois.»
Les raisons de tuer Štefánik étaient certes multiples à l’époque. Il était d’abord un farouche adversaire du Communisme, il était donc pour eux l’homme à abattre. Le silence qui a d’ailleurs entouré son nom pendant toutes les années ou la Tchécoslovaquie a vécu en dictature communiste en dit long à ce sujet. Il aura fallu attendre l’arrivée au pouvoir de Mečiar pour que le sujet ne soit plus tabou et pour que Štefánik, héros national, soit réhabilité. Entre 1946 et 1958, le nom du Général de Gaulle n’a pas été cité une seule fois par la radiodiffusion publique française. Voilà des performances qui en disent long sur l’objectivité qui a régné pendant toutes ces années !
L’hypothèse la plus sérieuse est puisée aux meilleures sources militaires françaises de l’époque et démontrent clairement que pour l’État-Major français, « le crime était signé et le commanditaire identifié« . La désignation annoncée de Štefánik comme ministre de la Guerre de Masaryk gênait manifestement et dérangeait les plans de ceux qui ne partageaient ni sa vision politique (un lien très fort avec la France) ni ses vues sur l’équilibre à respecter entre les deux communautés réunies.
« C’était un cœur rare, une âme noble, un esprit extraordinaire qui s’est entièrement dévoué pour notre cause dès que les circonstances l’exigeaient. Il mérite la reconnaissance de l’humanité entière. Sa présence va nous manquer. Son souvenir va vivre dans les cœurs de nous tous » dira le maréchal Foch qui représentera la France à ses obsèques.
Curieusement, après la disparition de Štefánik, les relations militaires entre la France et la Tchéco-Slovaquie ont commencé à diminuer d’intensité, avant de se dégrader et d’être finalement interrompues quelques années plus tard, contrairement à l’esprit d’alliance voulue et mise en œuvre par Štefánik. Pour mémoire, la jeune armée tchéco-slovaque était principalement formée par les membres de la fameuse légion tchéco-slovaque encadrée par des militaires français. Ensemble, au lendemain même de la création de cet État tchéco-slovaque, ils ont remporté une importante victoire militaire sur l’armée hongroise, la Hongrie ayant très mal vécu cette union des peuples tchèque et slovaque anciennement sous administration autrichienne et hongroise. Autant d’éléments absents des analyses faites par des historiens tchèques proches des pouvoirs qui se sont succédé à Prague.
Pourquoi ne pas reconnaître, une fois pour toutes, les faits, certes inavouables pour un État qui se voulait de Droit ? Tous les pays cachent ainsi des épisodes peu glorieux avec un inégal succès. Pourquoi, pendant si longtemps, avoir maintenu un secret de plomb sur cette page noire de l’histoire de la Tchécoslovaquie ? Quant à l’image de Beneš, pour beaucoup d’historiens, elle ne sera jamais comparable à celle d’un Masaryk ou d’un Štefánik. Un peuple se trompe rarement. Quant au bon sens populaire, c’est de loin la qualité fondamentale qui fait le plus défaut aux hommes politiques actuels… Leurs prédécesseurs ayant superbement ignoré le mot même de « transparence ».
80 ans après, la lumière mérite donc d’être enfin faite sur ce drame au risque de continuer de laisser planer un doute aussi fort.
{L’armée tchécoslovaque}: Extrait de 1914-1918 « La der des der ». Excellent {site historique}. Une précision toutefois: à cette époque « tchéco-slovaque » s’écrivait avec un trait d’union, qui a disparu après la mort de Štefánik.
- Remerciements au Lieutenant-Colonel Joël Bros qui a beaucoup fait pour que le nom de Štefánik ne soit pas oublié et au Colonel Ivan Kvackaj pour son aide lors de notre tournage en Slovaquie.
Liens utiles et Biographie :
- En français:
- Une page d’Histoire sur la Résistance franco-slovaque : le bataillon Foch
- Site de l’Ambassade de France à Bratislava}: Le Général Štefánik, un héros franco-slovaque
- Site} de l’AOTS (Association des Originaires des Pays Tchèques et Slovaques)
- Année Milan Rastislav Štefánik – Jumelage des villes de Brezno et de Meudon: (Štefánik est devenu citoyen de Meudon le 1er mai 1906)
- Site slovaque retraçant la vie du Général Štefánik (Štefánik na stránkach ZS Kosariská) en français
- Actualités de la ville de Meudon
- Émission du timbre français à l’effigie de Milan Rastislav Štefánik (Poste française)
- Émission du timbre slovaque à l’effigie de Milan Rastislav Štefánik (Poste slovaque)
- Visite du président de la République slovaque, M. Rudolf Schuster} (Paris, 14 avril 2000)
– Programme Štefánik: {Programme d’actions intégrées franco-slovaque} dans le domaine de la recherche scientifique et technologique. Il est administré pour la République slovaque par le Ministère de l’Education. En France, les PAI sont financés et administrés par le ministère des Affaires étrangères et le ministère de la Jeunesse, de l’Education nationale et de la Recherche. La gestion des appels à candidature, puis des programmes eux-mêmes, est confiée à ÉGIDE. - En anglais:
- Site slovaque retraçant la vie du Général Štefánik (Štefánik na stránkach ZS Kosariská) en anglais
- General Milan Rastislav Štefánik Air Force Academy
- Po slovensky:
- Site slovaque dédié au Dr. Général Milan Štefánik (Štefánik mojimi ocami)
- Site slovaque retraçant la vie du Général Štefánik (Štefánik na stránkach ZS Kosariská)
- Portait de Milan Rastislav Štefánik par Dušan Kovác ({Štefánikov zivotopis}) Site studentske.sk